Divorcer

Le divorce est une épreuve qui touche à de nombreux domaines de notre vie, notre identité, nos enfants, nos biens, notre passé, notre avenir. Une séparation peut être abordée de différentes manières sur le plan juridique et émotionnel. Avec notre client, nous passons en revue les différentes options, nous l’aidons à choisir le meilleur cadre d’action qui lui permettra de dépasser le traumatisme de la séparation en créant un nouveau devenir.

Accord de divorce

Le divorce à l’amiable est toujours préférable au divorce en contentieux. Dans le cadre d’un divorce à l’amiable, la rédaction d’un accord de divorce implique une attention particulière des deux conjoints pour définir les droits et devoirs de chacun, pour éviter de nouveaux conflits et pour permettre de mettre en place une structure avec un partage clair des responsabilités dans l’éducation des enfants pour les prochaines années.

La garde des enfants

Lors d’un divorce, la garde des enfants et les droits de visite sont une des questions fondamentales. Garde partagée, garde alternée, une semaine chez un parent, une semaine chez l’autre parent, ou une garde alternée avec trois jours chez un parent et quatre jours chez l’autre parent, ou encore la semaine chez un parent et le shabbat chez l’autre, garde préférentielle chez la mère ou chez le père, partages des vacances et des fêtes, les modèles sont nombreux. Ces dernières années, comme dans l’ensemble du monde occidental, les tribunaux israéliens ont tendance à privilégier les modèles de garde équilibrés entre la mère et le père. Le choix du modèle de la garde des enfants exige non seulement une connaissance des lois mais surtout une extrême sensibilité et une compréhension de la dynamique familiale, afin d’adapter l’arrangement aux enfants et à leurs parents.

Pension alimentaire

Les lois et la jurisprudence sur le paiement de la pension alimentaire pour les enfants ont considérablement évolué ces dernières années. L’obligation des deux parents est d’assurer un bien être à leurs enfants tout en trouvant un modèle qui permette à chacun des parents de continuer à gérer leur vie de demain. Comme dans la garde des enfants, les modèles de calcul de la pension alimentaire sont nombreux. Les parents doivent assumer le bien être de leur enfant, comme ils le faisaient avant le divorce. L’obligation de fournir une pension alimentaire doit être équilibrée avec la situation des deux parents. Notre rôle est de trouver la formule appropriée pour chaque famille, grâce à des techniques modernes et diverses qui de nos jours, permettent tout à la fois de respecter les besoins de l’enfant et des parents.

Aliénation parentale

L’aliénation parentale est l’un des phénomènes les plus difficiles d’un divorce. La première victime de l’aliénation parentale est l’enfant. Les tribunaux en Israël comme dans le monde sont de plus en plus sensible aux tragédies qu’entrainent l’aliénation parentale. Une des solutions les plus efficaces pour lutter contre l’aliénation parentale est une prise en main “psycho-juridique” : des thérapeutes spécialisés dans ce domaine et les Tribunaux collaborent étroitement et souvent quotidiennement pour mettre fin à l’aliénation parentale. Des méthodes d’action très efficaces ont permis dans des cas tragiques de  reconstruire le lien entre les enfants et le parent victime de cette aliénation parentale.

 Le partage des biens

Le partage des biens entre les conjoints en Israël est géré par une loi qui repose sur le principe d’un équilibrage des ressources, des actifs et des dettes. Tous les actifs sont pris en compte, biens immobiliers, investissements, actions, épargne, dettes, actifs personnels et professionnels et même capacité financière et professionnelle de chacun des deux conjoints. Le partage des biens dépend aussi de l’accord prénuptial signé entre les conjoints avant le mariage ou d’accords financiers signés après le mariage.  Le partage des biens est un des domaines les plus complexes du divorce et exige des connaissances approfondies pour permettre de protéger les droits du client.

Kétouba

Au cours des dernières années, les tribunaux rabbiniques sont de plus en plus appelés à juger des demandes de ketouba déposées par les épouses. Et à juste titre : la Kétouba est comme une déclaration des droits de l’épouse. La Kétouba est une des mesures importantes adoptées par les Sages juifs pour défendre les droits de la femme, il y a quelques 2000 ans. Bien avant que le monde ait entendu parlé de la révolution féministe, le monde juif a conçu cette notion de Ketouba pour définir les devoirs de l’époux vis-à-vis de son épouse au cours du mariage et lui permettre en cas de divorce de recevoir une somme d’argent définie dans la Kétouba. Dans la plupart des cas, nous recommandons à la femme de déposer une demande de Kétouba. Certes la décision du Tribunal d’accorder ou non la Kétouba à l’épouse dépend de considérations halachiques complexes que nous analysons avant de déposer une demande de Kétouba.

Collaboration avec des professionnels de qualité

Notre bureau travaille en collaboration étroite avec des professionnels de qualité dans tous les domaines : psychologues et thérapeutes familiaux, spécialistes en immobilier, détectives et enquêteurs économiques, actuaires, conseillers en finances etc. Cette collaboration nous permet de fournir à nos clients un service holistique de la plus haute qualité.

Igoun

Nous sommes aussi spécialisés dans les dossier d’igoun, de refus de guet, un des phénomènes les plus graves auquel est confronté le monde juif. Des époux utilisent d’une manière honteuse la halakha pour empêcher leur femme de briser les liens d’un mariage qui n’existe plus. Le chantage au guet doit être combattu avec la plus grande sévérité. Il existe de nos jours de nombreux recours halakhiques et juridiques qui nous ont permis de sauver des dizaines de femmes du monde entier, et aussi certains hommes.

Nous croyons aux solutions innovantes ! Nous savons mettre fin aux conflits et défendre les droits de nos clients.

 

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